AVERTISSEMENT, corrections et
un
certain
nombre de
remplacent probablement ceux que
d’une écriture plus récente
,
temps avait détruits dans
l’original.
ensuite
bien que
,
IX
pages. Des feuillets eutiers,
Le manuscrit 6 1 5 m’a
le texte véritable s’y
trouve souvent coupé par
quelqu’une de ces traditions relatives au prophète,
parmi
les
Musulmans, et dont
troisième manuscrit dont
Schultz
il
et le texte J’ai
si
nombreuses
l’auteur arabe a su faire justice.
j’ai
pu
faire usage
est d’une belle conservation
Le
a été recueilli par
d’une écriture facile à
,
le
servi
lire,
en est pur.
pensé
pouvait être utile d’accompagner le texte arabe
qu’il
d’une traduction française aussi littérale que possible. Toutes
les
personnes qui se sont occupées de langues orientales n’ignorent pas combien leur génie diffère de celui des idiomes européens et
que de
l’arabe
difficultés
on rencontre pour traduire mot par mot
en français. Le vague dont
les écrivains
orientaux aiment
à s’envelopper s’accommode mal de la clarté de notre langue,
qui ne souffre aucune indécision dans l’expression de J’ai
dû chercher d’abord
cise, puis le
à arrêter le sens d’une
pensée.
rendre littéralement et parole pour parole, sacrifiant
toute espèce d’élégance à explicatives, partout
semble de
la
manière bien pré-
mon
où
travail.
eut-il été au-dessus
reçus, les secours
la fidélité
le sens 11
de
la
l'exiger,
est bien simple, et
de mes forces sans
que
traduction. Quelques notes
m’a paru
l’on a
les
complètent
l’en-
cependant peut-être
encouragements que
j’ai
bien voulu m’accorder. Non-seulement
M. Caussin de Perceval a consenti à revoir avec moi
le texte et la
traduction dans leur entier; mais son obligeance extrême a mis à
ma
disposition de
pouvaient
me
nombreux
extraits
de manuscrits orientaux qui
venir en aide, expliquer
la
pensée de l’auteur,
décider sur un sens souvent douteux. C’est ainsi que, grâces
et
pu m’aider du Sirat-er-reçoul, cette curieuse collection de faits si en matériaux précieux pour fois
l’histoire
son savoir, ce serait citer l’une après l’autre chaque page de
a
mis à
M.
le
riche
des Arabes. Dire toutes
que cet habile professeur m’a secouru de son expérience
travail.
me
à lui, j’ai
et
les
de
mon
baron de Slane, avec une prévenance toute obligeante
ma disposition
une édition de Reiske, en marge de laquelle